samedi 1 janvier 2050

Famille Raby

Bonjour à toutes et bonjour à tous, voici mon blog sur ma famille, la Famille Raby. Pourquoi ce blog ? Pour tenter d'expliquer, pour exorciser, pour rendre compte de ma vérité !

Famille Raby, famille de merde !

Je prends le droit de partager mon expérience, je crois que cela peut être salutaire pour d'autres. Pour certains qui seraient dans la même situation que moi, confrontés à un père égocentré, menteur et manipulateur de la vérité, confronté au désamour d'une mère pingre de ses sentiments. 

Je pense que ce blog peut être salutaire à d'autres comme moi, confrontés à un désamour lié à la séparation mal gérée de leurs parents. Ce blog peut également m'être salutaire, me permettre de coucher là un certain nombre de vérités qui ont été étouffées par les autres membres de ma famille.

Vos parents ont l'intension de divorcer, lisez ces pages pour éviter de tomber dans le même piège que notre famille de merde !

Vous êtes arrivé jusqu'ici, vous avez des griefs contre l'un de ces posts, surtout n'hésitez pas à laisser votre commentaire. Contactez-moi, vous pouvez le faire très simplement par le formulaire de contact en bas dans la colonne de gauche et je vous répondrai. 

Ce blog est là aussi pour échanger, pour partager, pour corriger les perversités des uns et des autres.

Famille Raby, famille de merde !

Vous aussi, vous avez une famille et même peut être qu'elle s'appelle Raby aussi, ça peut arriver, alors je ne vous souhaite qu'une chose, c'est qu'elle ne ressemble pas à la mienne. 

Ma famille Raby à moi est pourrie par des personnages immondes notamment un pervers narcissique d'une puissance que vous ne pouvez pas imaginer, un personnage dont on dit qu'il est malheureux car c'est la seule explication que nous avons tous trouvé pour qu'il ait passé toute sa vie, à rendre les autres membres de sa famille, malheureux.

Ce blog est une résurgence comme une rivière que l'on aurait essayé d'enfouir et qui plus loin ressurgirait avec une force encore plus grande. Oui, mon père a pu faire supprimer mon blog précédent. Un blog où je le mettait en cause nommément. Ce n'était pas une erreur de ma part, je sais qu'ici sur Internet, on ne peut pas dire du mal des gens pourtant néfastes, nommément, sous peine de disparaitre, d'être effacé et je refuse d'être effacé.

Ce blog était destiné à ouvrir le dialogue à discuter, à permettre l'échange mais peut être aussi à confondre l'être narcissique qu'est mon père. Il a refusé toute discussion, tout échange et à fait supprimer mon blog sans même me contacter ! Imaginer comment je suis maintenant furax contre cette façon de faire. Mais je vais tâcher de rester objectif.

Tout ce que je raconte ici est une histoire vraie, l'histoire de ma famille de merde !

lundi 26 octobre 2020

On ne change jamais !

Je suis surpris par mes congénères et leur façon d'être toujours pareils si prévisibles et si souvent convenu. Cela doit venir d’un pouvoir de création que je ne trouve pas chez les autres, il n’y a pas chez eux cette créativité que je leur souhaiterais et même je leur trouve au contraire une peur de cette créativité quand elle est en eux.

Alors oui, les autres pensent que vous êtes toujours le même sans évolution sans changement et le monde devient triste car une fois que l’on est fâché avec quelqu’un, il n’y a plus aucune raison de changer mais au contraire, il y a toutes les raisons de se fâcher à nouveau et même encore plus.

Je retrouve grâce à un voyage en Provence dans l’ancienne région de mon enfance, une veille amie de la famille comme on dit. Une personne qui est restée en Provence et y a fait sa vie. Je sais que nous avions des différents et que les choses ont été gérées de façons peu amicales mais je n’en suis pas le principal responsable et j'espère qu'elle m'accueillera avec bienveillance.

Vingt cinq ans après, je lui rends visite, elle ne me reconnaît pas mais pas du tout, pendant plusieurs secondes qui me paraissent interminables je suis un étranger. J'ai envie de ne pas me trouver là, et puis je vois tout de même son visage s'éclairer avec une retenue que l'on n'attend pas des gens du midi mais elle me sourit, alors nous allons pouvoir mettre à jour les nouvelles des uns et des autres.

Le petit dernier vient de faire une nouvelle dent, malheureusement l'enfant de son dernier fils est gravement malade mais je retrouve les mêmes blocages; elle n'est pas à l'aise c'est le moins que je puisse dire et cette visite qui aurait pu être le départ de nouvelles aventures finalement sera tronquée par le besoin de faire autre chose sur son agenda. En dernier ressort, j'évoque ma mère et sa petite fille qui elle aussi est gravement malade comme pour donner le change comme pour donner des nouvelles de ceux que l'on connait encore.

Rien n'y fait et je suis poussé vers la sortie avec une dernière chanson, oui elle aime bien terminer en chanson. Les soirées, les veillées à l'époque c'était autour d'un feu de camp avec une guitare ou une batterie, elle entonne des paroles qu'elle improvise certainement mais qui résonnent encore : "c'est les Raby les gentils, c'est les Vincent les méchants", curieux cette autocritique, elle rigole en chantant mais il m'est difficile de dire qu'elle sincérité il y a dans tout cela.

Quelque temps après, je me dis que c'est bien mieux comme ça et que j'ai bien retrouvé exactement inchangée la personne nous qui a joué un tour qui s'est joué nos divisions pour mieux régner. Maintenant c'est elle qui règne, seule et sans partage. D'autres royaumes sont bien plus accessibles et bien plus accueillants pour que je puisse enfin me tourner définitivement vers autre chose. Merci à elle pour cette dernière leçon de vie.

Sans le savoir, elle m'a guéri, elle m'a guéri de cette blessure laissé par mon enfance.

vendredi 1 mars 2019

Une vie atrophiée

Depuis quelques temps c'est l'expression qui me vient en tête quand je pense à moi, à ma vie, à ce que ma famille est devenue, à ce qu'ils ont fait. Voilà c'est vraiment le terme qui convient : "une vie atrophiée" mais pas seulement la mienne.

Un vie atrophiée

J'ai une conscience de cette vision si nette que depuis peu de temps, je me dis que c'est ça. Je savais qu'on ne pourrait pas se développer normalement mais j'essayais de tout faire comme si et puis, rattrapé par la réalité, il faut bien que je regarde les choses en face ces gens de ma famille ont atrophié leurs vies et la mienne.

Les synonymes médicaux de atrophier : rapetisser, dépérir, s'altérer, se détériorer, diminuer, décliner, s‘affaiblir, s‘étioler, se faner, péricliter, s' anémier.

Oui nous nous sommes affaibli à force de ne pas s’entraider, de se dénigrer, à force de ne pas se développer ensemble, nous nous sommes atrophié.

A force de non-amour, le développement n'est pas optimum.

mardi 21 novembre 2017

C'est l'anniverssaire de mon infarctus

L'année dernière je faisais un infarctus, heureusement que ma compagne était là car sinon je ne sais pas ce qu'il serait arrivé probablement la fin. C'est vrai, c'était l'année dernière, c'est elle qui m'y a fait penser, les femmes sont là pour cela. Je ne souhaitais pas en faire un anniversaire mais après tout. En effet un an déjà et ça va beaucoup mieux. Physiquement je pète la forme avec un entrainement de marines mon cœur n'a jamais été aussi solide.

Moralement ce n'est pas aussi facile que cela devrait l'être, il faut dire que l'adversité est grande et pesante.

Je ne peux compter sur aucun membre de ma famille pour se réjouir avec moi ou me demander des nouvelles. Pour la majorité d'entre eux, ils ne sont même pas au courant !

Mais quelle famille de merde !

mardi 20 septembre 2016

L'histoire se répète inlassablement

Dans cette famille, la mienne, les relations sont abominables, j'ai l'impression d'avoir passé ma vie à aider les autres membres de ma famille à tenter de rendre leur vie meilleure et quand j'espère que les autres vont faire quelque chose pour moi. Ils me tournent le dos.

Pourtant, dans mon esprit, il n'y aurait pas grand chose à faire, juste un peu d'aide, un message, un geste de soutien mais rien ne vient. Rien n'est jamais venu ! J'ai vraiment une famille de merde.

Marque Page fait pour moi par mon fils pour la fête des Pères

Vous ne pouvez pas savoir la douleur que c'est pour moi de mettre cette image ici comme une relique. Ce qu'elle me rappelle et ce que cela implique. Aujourd'hui comme le dit Nicole Ferroni, mon fils est en phase gazeuse. Je l'ai perdu dans les limbes de la vie.

Mon fils ne me donne plus aucune nouvelle et je ne sais pas pourquoi précisément. Il est parti sans dire pourquoi !

lundi 27 juin 2016

Les affres de la vérité

Je souhaite vous faire part d'une réflexion sur la vérité. Pour vous faire ressentir à quel point la vérité est subjective, à quel point il faut se méfier de ceux qui pensent détenir la vérité car la vérité est un mythe elle n'existe pas !

Voici donc une réflexion que j'ai mené récemment. J'avais du mal à comprendre pourquoi quand je racontais un événement vécu, il se pouvait qu'une autre personne raconte une histoire totalement différente alors que nous vivions les même événements. C'est pour comprendre ce décalage que j'ai trouvé la métaphore du Cube.

Prenons un cube donc les faces sont toutes de couleurs différentes. Disposons quelqu'un devant la face rouge et quelqu'un d'autre devant la face vertes.

Le cube de la vérité

La personne devant la face rouge vous jurera sur la tête de ses enfants que le cube est rouge et la personne devant la face face verte vous jugera qu'il est vert. Pour peu que vous n'expliquiez pas le truc, ces gens commenceront à se disputer pour en venir aux mains s'il on n'intervient pas.

Voici ainsi la métaphore de la vérité.

Voici une image encore plus parlante que j'ai trouvé depuis sur Internet :

Voici le mythe de la Vérité

C'est un carré rouge, c'est un rond bleu, ces deux allégations sont vraies !

Mon imbécile de père menteur et manipulateur refaisait sans cesse la vérité mais de vérités il n'en voyait aucune.

Je suis tombé dans un profond désarrois lorsque j'ai entendu mon père raconter de sales histoires de plusieurs manières différentes, à chaque fois, il était le héro de l'histoire et pour terminer à la fin c'est lui qui avait tout fait et les autres qui avaient tous les torts.

Regardez les politiques, ils procèdent exactement de la même façon ...


lundi 30 mai 2016

A ses yeux je n'étais qu'une potiche, qu'un ornement

J'ai mis du temps à comprendre c'est pour cela que j'ai eu si mal. J'aurais dû voir avant, cacher mon jeu et faire comme je l'entendais. J'ai tout fait comme je pouvais, des études et tout le tintouin et puis, il arriva un moment ou j'avais enfin les cartes en main, une embauche, un salaire, je démarrais quand même ma vie professionnelle.

C'était le moment pour moi de me tourner vers mon père, de lui demander son aide, son aide pour m'installer, pour m'installer enfin quelque part ailleurs que dans cette maison, ailleurs que dans sa maison, ailleurs que dans ce grenier ou j'habitais maintenant depuis plus de 10 ans.

J'ai donc annoncer à mon père que je souhaitais m'installer ailleurs que chez lui, dans un endroit à moi et qu'il devait tout naturellement m'aider soit à démarrer un crédit soit à acheter un bien. Il était propriétaire de nombreux biens immobiliers. Je pensais que j'avais également ma chance dans un legs, pourquoi pas, depuis les récentes lois. Lui avait bien hérité en ligne directe de sa grand mère de cette maison de banlieue dans laquelle nous habitions.

Il était donc obligé de dévoiler un peu son jeu, en tous cas de me répondre. Il me dit alors que je ne devrais pas avoir envie d'aller ailleurs que j'étais bien chez lui et que tout devait rester comme ça. Pourquoi changer... Je lui dit alors que ce que je souhaitais c'était fonder une famille, trouver ma compagne et lui faire des enfants que ce n'était pas possible dans un grenier ! Il me raconta alors que ce qu'il avait prévu, et j’eus l'impression de tomber dans le vide. Mon père avait prévu d'agrandir le grenier et d'aller jusqu'à y faire une cuisine. Inutile d'être architecte, il n'y avait tout simplement pas la place de faire quelque chose de confortable.

Cette révélation fut un basculement total. Donc, après tout ce temps, après toutes ces souffrances, en effet à l'époque l'université n'était pas comme aujourd'hui, c'était une sélection draconienne, nous étions peu à en sortir par le haut. J'avais un diplôme et un métier et tout ce que mon père m'offrait pour me lancer enfin dans la vie, c'était une cuisine dans un grenier !

J'aurais donc continué à vivre comme un rat mais comment une femme digne aurait-elle accepté cette situation, c'était impossible. Alors j'ai du menacer mon père de partir, de ne plus revenir et j'ai obtenu de m'installer dans la maison d'à côté qui lui appartenait. Je n'étais pas sauvé mais c'était un bol d'air frai. J'avais enfin desserré l'étau.

Mon père, n'avait donc pour moi aucune vision d'avenir que celle du rat qui vivait dans son grenier et pour lui, c'est cela qui devait perdurer.

lundi 2 mai 2016

Tue ta famille adopte une vietnamienne

J'avais déjà écris un article similaire mais depuis il y a eu quelques rebondissements. Aussi, je vais me permettre de partager avec vous, cette nouvelle expérience.

Dans l'ambiance bon teint qui règne aujourd'hui, ce n'est pas politiquement correcte de parler ainsi d'une "vietnamienne" mettant l'accent sur une discrimination ethnique. Et pourtant, s'il s'agit de nommer ici une population spécifique d’Asie du sud-est non pour faire de la discrimination mais pour dénoncer la perversité de l'homme blanc.

Le démon de midi désigne une crise que je qualifierai de sexuelle qui frappe l'homme âgé d'une quarantaine, d'une cinquantaine ou voir d'une soixantaine d'années. Cette crise consiste à regarder sa femme comme étant trop âgée pour refléter l'âge que l'homme croit avoir. Par souci de rajeunissement l'homme se met à regarder du côté d'une femme plus jeune qui le satisferait mieux dans son besoin de se regarder dans l'autre. C'est à dire de se rajeunir.

Inutile de dire que cela ne sert à rien de vouloir s'affubler d'une femme plus jeune pour se rajeunir. Vous ne feriez que vous rajeunir dans l’œil des autres dans les faits vous paraitriez toujours aussi vieux. Par la suite, le vieil homme blanc, devenant malgré tout de plus en plus vieux, deviendra une proie facile pour la femme asiatique. Voilà le deuxième constat qui mène l'homme blanc à sa perte et par la même à la perte de sa famille.

Afin d'arriver jusqu'en Asie du sud-est, il faut encore combiner un autre fantasme avec la crise sexuelle du démon de midi pour arriver à "tuer sa famille en adoptant une vietnamienne". Mais vous voyez maintenant où je veux en venir. Le fantasme de la femme vietnamienne vient chez l'homme blanc d'une parfaite méprise. L'homme pense que la femme d'Asie du sud-est est servile, éduquée au service de l'homme, prête à le servir pendant ses vieux jours alors qu'il n'en est rien.

Mon père aura donc plusieurs fois essayé d'adopter une jeune femme d'Asie du sud-est, afin d'assouvir en même temps ces deux fantasmes, avoir une femme jeune et servile. Si j'emploie le verbe "adopter" c'est parce qu'il s'agit d'une femme de vingt ans plus jeune que lui et qui donc se retrouve avec l'âge de ses enfants, c'est à dire avec presque le même âge que moi.

Imaginez toutes les difficultés qu'il peut y avoir à vivre une telle situation. Mon père tout content ramène à la maison une asiatique avec presque le même âge que moi. Imaginez la tête que j'ai fait !

J'ai reçu un  jour un coup de téléphone de quelqu'un qui cherchait un Raby et, je suis parmi les Raby celui que l'on trouve le plus facilement ...

Mais je continuerai plus tard...

PS : Cela me fait penser à l'excellent film : "Les invités de mon père" avec Fabrice Luchini et Karine Viard.

lundi 25 avril 2016

La famille la moins connectée du monde

On ne peut pas dire que ma famille soit "issue d'un milieu modeste", nous sommes plutôt je dirais de la classe moyenne et même moyenne aisée. Et pourtant, ils sont les moins connectés du monde. Je suis l'exception, je passe mon temps connecté, c'est mon travail mes les autres... Mon père n'avait pas encore Internet en 2010. Ma mère ouvre son PC une fois par semaine et encore quand je lui dis que j'ai partagé quelques photos avec elle. Ma sœur n'a même pas d'ordinateur, elle ne sait pas à quoi cela peut servir.

On peut parfois se penser paranoïaque, se dire que des forces obscures occultes s'acharnent contre vous et que ce n'est pas bien d'être paranoïaque. Mais parfois c'est vrai, des forces invisibles semblent s'acharner contre vous, vous n'êtes pas paranoïaques simplement ces forces semblent liguer pour vous empêcher d'avancer.

jeudi 21 avril 2016

Mes parents

Voilà, pour moi, le vif du sujet, je pense que tout a démarré, ou plutôt que tout s'est arrêté pour moi, le jour de leur séparation.

Mes parents, il s'agit de deux personnes aux caractères biens trempés. Comme ils aiment à le dire, ils ont connu la guerre. Encore que cette affirmation est toute relative. Ils sont nés la même année à la toute fin des années trente, pendant la guerre c'est vrai mais ils étaient tout petits ! Ceci dit ce n'est pas pour tenter de minimiser leurs exploits.

Ils n'ont pas su gérer leur séparation, puis leur divorce et quand je dis pas su gérer, c'est un drôle d'euphémisme, ils se déchirent encore maintenant, 45 ans après.Toutes les réunions de famille ont été l'occasion pour eux de se jeter quelques insultes à la figure.

C'est important de recevoir de l'amour de la part de ses parents, c'est certainement le truc qui m'a manqué le plus.

Ma mère a souffert d'être l'ainée

Ce n'est pas facile d'accabler ma pauvre mère, c'est une vieille dame maintenant, et je lui dois beaucoup, tout ce que j'ai réussi malgré tout à être. Il n'y a qu'une gène entre nous, notre relation est un peu particulière je trouve. Je voudrais mieux appréhender cette femme qui est ma mère.

Je vais jeter des éléments que je développerai par la suite.

C'est l'ainée de sa famille, à une époque où avoir une fille comme ainée ne se fait pas c'est une catastrophe. Elle va souffrir toute sa vie de ne pas avoir la place qui lui revient dans sa famille. Elle ne sera jamais l'ainée jamais considérée comme cela ni de la part de ses parents ni de la part de ses deux frères.

C'est un élément capital : "avoir la place que l'on doit avoir", ou la place qui vous revient comme un droit en quelque sorte. C'est une caractéristique chez les gens mal dans leur peau dans leur tête que de ne pas avoir la place qui leur revient au sein de leur famille. C'est aussi une pratique facile que de ne pas placer à leur place les enfants que l'on souhaite déstabiliser.

C'est douloureux pour une femmes que d'être l'ainée de sa famille. Surtout que ma mère va avoir deux frères dont le plus grand va également avoir des soucis pour exister.

Chaque fois que j'ai besoin de sa confiance, j'ai l'impression que ma mère me trahit et se retourne contre moi.

Elle n'aimait pas ses parents !

Elle m'a récemment fait une révélation sordide, du genre de révélation que l'on garde toute une vie ! Elle m'a eu dans "les eaux noires", je vous expliquerai ...

Et sinon, heureusement qu'elle m'a quand même aidé à vivre à me construire même si j'aurais eu besoin de quelqu'un disons, comment dire sans froisser quelqu'un de plus aimant.

Me voici de retour chez le psy

C'est aussi un peu pour cela que je commence ce nouveau blog. Au sein de ma famille, j'ai à faire à des indélicats et pour rester debout, je vais devoir faire preuve de plus de malice, de compréhension, de résilience afin de me préserver mais en même temps de raconter pourquoi le désordre s'est instauré dans cette famille.



J'ai pris la décision de retourner voir "un psy", suite aux problèmes déclenchés par ma relation avec mon fils, j'ai trouvé le courage de retourner voir un psychiatre, j'ai besoin de comprendre.

C'est toujours impressionnant d'aller voir un psychiatre, je me demande bien ce qu'il va en sortir, comment je vais réagir. Je trouve rapidement cette rue calme d'un cartier tranquille de la ville, je me gare et me dirige vers la porte d'entrée d'une petite maison typique de banlieue, un toit en tuiles rouges qui viennent recouvrir les poutres du toit sur la devanture, des murs crépis avec de large bordures lisses sur les côtés, deux fenêtres carrées de chaque côtés de la porte d'entrée.

La maison de ce psy est plutôt mal entretenue. Pour y entrer il y a comme un petit pont qui passe dans un jardin touffu parsemé de bambous. C'est amusant l'allure de cette maison est la même que la maison de mes arrière grands parents à Saint Maur des Fossés comme cela une petite maison de banlieue totalement défraichie comme abandonnée.

à bientôt

vendredi 1 avril 2016

Mon ancien blog

C'est grave de  faire supprimer des écris originaux ! Mais c'est pourtant ce qui s'est passé. Avec la complicité de googooleu.

J'écrivais un blog sur les problèmes de cette Famille Raby pour tenter de créer un électro-choc, une situation de conflit extrême pour faire réagir mon entourage et surtout les membres de cette famille. Les articles que j'écrivais étaient d'une violence extrême mais en rapport avec la souffrance extrême qui m'était infligée. A l'époque d'Orange Mécanique, on aurait appelé cela de l'ultra violence non pas physique mais psychique.

Mon père à toujours tenté de nous écraser ma sœur et moi et je souhaitais rétablir un certain équilibre en mettant par écrit ses frasques et ses turpitudes afin de créer un événement, une rencontre autour d'une base de conversation, le moyen de discuter autour d'éléments solides car le problème avec mon père et ses mensonges c'est qu'il réécrit les histoires pour s'y mettre en valeur.

Mais tout a été supprimé ! Alors que ces messages auraient du être la base d'un échange d'un partage possible, voir d'une réconciliation, à la fin tout à disparu sans autre forme de procès. Je trouve que c'est grave de prendre une telle décision.

Vous n'avez plus accès, votre blog a été supprimé !

Dans mon ancien blog, j'ai nommément mis en cause ces personnes indélicates et ce blog a disparu c'est la  loi d'Internet. Encore que j'aurais pu expliquer et j'assume chacun de mes écris. Je dois donc simplement recommencer avec un autre regard avec un peu plus de recul. Je ne peux pas laisser ce manipulateur pervers avoir raison avec ses mensonges.

Vous n'êtes pas encore aux faits de nos échanges relationnels entre les membres de cette famille de merde mais je peux vous dire que c'est vraiment une souffrance extrême et la seule façon que j'ai trouvé c'est bien de cesser tout contact avec les membres toxiques de cette famille.

Personnes toxiques

Je suis en passe de couper totalement les ponts et je crois que de l'écrire m'aide à soutenir ce qu'ils me font subir.